La digitalisation est un levier majeur de performance des entreprises. Elle permet une forte optimisation des process RH. Mais là n’est pas l’essentiel de la mutation digitale. Elle permet également la captation et l’analyse des données. Ce traitement de la data ouvre la porte au développement du capital humain. En effet, en mesurant les liens existants entre la performance, la satisfaction et des éléments de personnalité, on parvient systématiquement à discriminer les collaborateurs performants des contre performants par leur profil de personnalité. On constate également que fréquemment les performants sont également dans la satisfaction professionnelle. Ce couple performance / satisfaction est ce que l’on peut appeler l’épanouissement professionnel. Il intègre également une adéquation des collaborateurs au climat de l’entreprise, à sa culture, aux opportunités d’évolution…

A Céquoia nous considérons que chacun a le droit à l’épanouissement professionnel ; et que chaque entreprise est en droit d’exiger la performance de ses collaborateurs. Ca tombe bien, nos solutions permettent d’atteindre ce double objectif.

Et vous, qu’en pensez vous ?
Publié dans Tendances actuelles

Aux états unis les annonces de recrutement demandent soit des profils ‘’mad skils’’, comprenez des expertises hors du commun, ‘’des compétences  folles’’ ; soit des ‘’mental outlook’’ qu’on peut traduire par des aptitudes relationnelles particulières telles que l’ouverture d’esprit, l’attitude positive, l’aptitude collaborative… Selon son auteur* ces nouveaux critères de sélection seraient des tendances fortes émanant des Etats Unis.

Mais doit-on opposer ces deux aptitudes, comme si l’une ne pouvait être présente sans l’autre ? Les pointus de l’expertise auraient oublié de travailler leur savoir être. Et ceux qui ont des aptitudes relationnelles seraient incapables de développer de l’expertise.

Dans le modèle d’analyse de la personnalité le plus probant – le big five - les ‘’mad skils’’  seraient des hyper consciencieux, quand les ‘’mental outlook’’ auraient de bons scores en agréabilité et extraversion.  Ce même modèle démontre qu’il n’existe aucune corrélation entre ses différentes dimensions. En d’autres termes, et pour revenir à la question initiale, vous pouvez très bien être à la fois un ‘’mad skils’’ et un mental ‘’outlook’’. Vous pouvez aussi être ni l’un ni l’autre. Dans ce dernier cas je vous invite à bien préparer vos entretiens de recrutement (…).

* Géry Delmar in Les échos.fr

Céquoia est membre actif de la Fondation Agir Contre l’Exclusion (FACE). Avant tout, il s’agit de se battre contre l’exclusion sous toutes ses formes. Mais c’est sur l’axe de l’insertion et du développement professionnels qu’une synergie est pertinente entre FACE et Céquoia. En effet, les risques de discrimination – source importante d’exclusion – sont nombreux en entreprise. En effet, tous les processus comprenant une part d’évaluation des personnes peuvent être facteur de discrimination. Le recrutement, la mobilité interne, les évolutions salariales… sont concernés. La discrimination peut s’y immiscer, y compris à l’insu de ses protagonistes. Mais de quelle manière les solutions Céquoia peuvent-elles limiter ce risque ? Concrètement, moins le processus est enrichi de méthodologie objective d’analyse des compétences, plus le risque s’accroît. Quand on ne maîtrise pas les critères de sélection au recrutement ou à l’évolution interne, on risque la discrimination. Ainsi, les solutions Céquoia permettent de sélectionner de manière objective les bonnes compétences et ainsi d’annihiler tout risque de discrimination.